• Je suspend le blog jusqu'à nouvel ordre, car pour l'instant, je voudrais me concentrer su ce blog là:

    http://sweet-manga.eklablog.net

    désolé :)


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  • "Zoey, viens donc manger !"

    Je ne peux pas. Je n'ai plus la force. Pardonne-moi, maman. 

    Ladite Zoey bouge à peine de son lit à l'appel de sa mère. Sa gourmandise habituelle est morte avec Mark. Comme tout le reste. Sa joie de vivre et ses sentiments sont partis avec le jeune homme.
    Mais, n'abandonnant pas sa fille pour autant, la mère de la jeune fille lui monte un bol de ramen, qu'elle pose sur sa table de nuit.

    - Mange un peu, Zoey, tu as tellement maigris ...

    L'adolescente la regarde de ses yeux vides. Cela fait un mois qu'elle n'a quasiment rien mangé.

    Manger pour quoi faire ?  

    Finalement, sa génitrice quitte sa chambre, avec un dernier regard empli de tristesse.
    Soudain, elle se redresse et dans un élan de détresse et de colère, elle brise le bol sur son parquet avant de sortir de sa chambre en courant, passant par le salon sous le regard effaré de ses parents.

    - Zoey ! hurle son père.

    Trop tard, elle a déjà franchit la porte d'entrée. 
    La serveuse cours sans trop savoir où elle va, faisant fi de sa petite boule de poil rose qui vole derrière elle et de l'inquiétude de ses parents à l'instant même. Finalement, elle grimpe dans un taxi.

    - Emmenez-moi aussi loin que je peux aller avec deux mille yens.
    - Bien, mademoiselle.

    Le visage noyé de larmes, elle regarde par la vitre, attendant que le trajet soit terminé.


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  • - J'aimerais bien savoir ce que fait Kilari.
    - Elle est en retard comme d'habitude ...

    Dans la salle de danse de l'agence, les deux jeunes garçons, Seiji et Hiroto, plus communément appelé les Ships, mettaient en place les dernières décorations. Car ce jour n'était comme tout les autres : c'était l'annversaire de leur petite protégée, Kilari Tsukishima.

    - N'empêche, elle exagère ! reprit Hiroto en fronçant les sourcils. Être en retard, le jour de son annversaire ...

    Seiji ne put s'empêcher de rire, mais fut interromput par l'arrivée de Mme Kumoi et M Muranishi.

    - Elle arrive ! Ne faites pas de bruit, comprit ? ordonna la manager.

    Ils hocèrent la tête tandis que le directeur éteignait la lumière.
    C'est ainsi que ce matin là, Kilari entra dans une salle de danse plongée dans le noir et sursauta lorsque ses quatres ainés hurlèrent : "Bon anniversaire !"

    Passé les étreintes et les embrassades, elle fit une grimace :

    - C'est mon anniversaire ?

    ***

    Après qu'elle se soit souvenue de ce jour important qu'était celui de ses quinze ans, la jeune fille se vit remettre ses cadeaux. D'abord ceux des fans : chocolats, fleurs, vêtements, petits mots ...
    Puis vint le tour de l'unique cadeaux de Mme Kumoi et M Muranishi : une enveloppe.

    - Je l'ouvre ?
    - Bien sur, espèce de cruche !

    Elle ouvrit délicatement l'enveloppe et découvrit d'abord un petit mot.

    Chère Kilari,
    Tout d'abord, joyeux anniversaire !
    Mme Kumoi et moi-même avons décidé de t'offrir une semaine de congé à Paris, accompagnée des 
    Ships. Nous espérons que tu passeras un bon séjour et que tu t'amuseras bien !


    Elle ouvrit grand ses yeux et son regard se porta sur l'auteur de la lettre.

    - Muranishi-sama ... c'est ... vraiment ... je ne sais pas quoi dire ... Merci ! Merci à vous tous !
    - Enfin, ce n'est rien, on n'a pas quinze tout les jours ! Et puis on s'est dit que ce serait l'occasion de te familiariser avec le France, puisque nous avons prévu une tournée en Europe.

    Kilari leur offrit un sourire radieux et se courba encore plusieurs fois pour remercier ses ainés.

     

     

     

     

     

     

     


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  • - Amu, ça va ?

    Ladite amu tourne son visage vers celui de son petit-ami et caresse ses cheveux noirs. Elle se blottit contre lui.

    - On ne peut mieux. Pourquoi ?
    - Tu as l'air fatiguée.
    - C'est le cas, mais je me sens bien.

    Ikuto hume le parfum sucré de ses cheveux roses. Elle est si belle.

    - Amu, j'aimerais que tu me dise si je vais trop vite.
    - Ne dit pas n'importe quoi. Je t'aime, Ikuto. 

    Ils venaient de faire l'amour. Simplement. Deux corps nus serrés l'un contre l'autre. Deux âmes réunies, atteignant ensemble le septième ciel. 
    Amu caresse lentement les abdominaux finement musclé de son amant et lui dépose un léger baiser sur les lèvres.

    - Je t'aime Ikuto, répète-t-elle en souriant.
    - Je t'aime Amu, souffle alors son aîné.

     Ceci est un peu bizarre pour un prologue, mais c'est la meilleure façon d'introduire ma fiction ;) N'hésitez pas à commenter si le coeur vous en dit ! =^.^=


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  • Ses cheveux blonds volant au vent, ses paupières s'ouvrant et se fermant sur des yeux rouge légèrement violacé, Tadase regardait. Il regardait la ville grouillante qu'était Tokyo. 
    Du plus haut appartement de la capitale japonaise, l'adolescent voyait tout ce qui s'y passait.

    - Je te retrouverais, Amu.

    Il se tourna vers trois jeune hommes. Âgés de quinze ans en apparence, ces garçons avaient en réalité sept cent ans. Témoins de l'histoire, ils étaient néanmoins obligés de se cacher.

    Le premier, Riko Furan, avait des cheveux noirs de jais et des yeux chocolats, comme la majorités de asiatiques, mais ce qui le rendait différent de ces humains étaient les canines blanches et pointues qui faisait de lui une véritable machine à tuer. Maigre et petit, il était cependant dangereux. Sa force dépassait de loin n'importe quel boxeur et son caractère ténébreux et taciturne ne donnait envie à personne de l'approcher.

    Le second, Pite Shô, arborait fièrement des cheveux blancs et des yeux rouges. Tous pensait qu'il était albinos, seulement, son sourire découvrant les même dents que Riko était bien plus que terrifiant. Il mesurait deux tête de plus que ce dernier et son corps était musclé juste comme il fallait.

    Le dernier était le frère jumeau de Pite : Shibuya Shô. Cependant, il était aussi simple que le premier : une chevelure ébène et une paire d'yeux rouges, cachés par des lentilles noire. Il avait l'air intellectuel qu'avaient toutes les personnes portant des lunettes.

    Oui, ces trois garçons étaient différents de tous les autres. Comme en témoignait les souvenrs lointains dont ils parlaient parfois entre eux, ou les canines acérées qu'ils avaent chacun, ils étaient des vampires. 

    - Maître, dit d'ailleurs Riko, pourquoi cherchez-vous cette Amu ?
    - J'aimerais lui faire payer la façon dont elle m'a quitté il y trois ans.
    - Trois ans, vous devriez simplement  oublier. Cela fat si longtemps ...
    - Tu es tellement drôle ! Entendre ça de la part d'un vampire de sept cent ans ... Les années ne passent-elles pas comme des heures pour toi ?
    - Je suis un vampire. Vous êtes un humain. Cette fille vous ferait perdre votre temps ...

    Tadase soupira et tira les rideaux, cachant ainsi la ville brillante. Il s'assit aux côtés de Pite et lui offrit son poignet. Celui-ci enfonça ses dents dans la chair du garçon, se nourissant ainsi de son sang. Une fois rassasié, Tadase fit signe deux autres de venir boire, ce qu'ils firent sans aucune hésitation.

    - Vous dépendez de moi, déclara le blond en souriant, c'est si bon de se sentir utile ...

    ***

    "Je me demande où est Ikuto ... songea Amu alors qu'elle lisait un livre"

    Elle s'était réveillée le matin, et n'avait trouvé personne dans le lit. Yoru aussi avait disparut, et ran, Miki et Sû ne sempblait pas savoir où était le jeune homme.
    L'adolescente soupira et se dirigea vers la cuisine où elle trouva un mot.

    Amu,
    Je fait un promenade matinale. Part au lycée, je passerait te chercher ce soir.
    Bonne journée mon amour.

    Elle retrouva son sourire et prit son petit déjeuner.

    La journée passa lentement, comme toute journée à l'école. Et un soupir soulagé s'échappa des lèvres d'Amu lorsque la cloche rententit, annonçant la fin des cours.

    Mais devant la grille, il n'y avait personne, sinon Yoru.

    - Yoru ! Où est Ikuto ?
    - Il est à la maison. Il est un peu fatigué, avec un sourire, le chara ajouta ; à cause de la soirée d'hier.

    La jeune fille rougit et secoua la tête.

    Prenant le chemin de l'appartement qu'elle partageait avec son amoureux depuis trois mois, elle ne se rendait pas compte de la voiture noire qui, étrangement, la suivait.


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